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L’échographe portatif, en s’intégrant au département de cardiologie, apporte une dimension temporelle cruciale dans le domaine médical. La disponibilité immédiate de cet outil performant révolutionne la réactivité du personnel médical, permettant des diagnostics précis en un temps record. Chaque minute gagnée devient une opportunité de mieux répondre aux besoins des patients, en particulier dans des situations critiques où la rapidité d’intervention est essentielle.

L’aspect mobile de l’échographe portatif renforce cette réactivité, offrant aux professionnels de la cardiologie la flexibilité nécessaire pour se déplacer rapidement dans différents contextes cliniques. Que ce soit dans les services d’urgence, les salles d’opération ou les unités de soins intensifs, la portabilité de cet appareil permet une utilisation efficace dans des conditions variées.

Par ailleurs, son rôle éducatif ne peut être sous-estimé. L’échographe portatif devient un instrument d’enseignement puissant, offrant aux étudiants en médecine des opportunités uniques pour acquérir des compétences pratiques. Cette polyvalence, alliant le processus clinique avec l’apprentissage académique, positionne l’échographe portatif comme un pilier indispensable dans l’évolution constante du domaine médical, favorisant à la fois la prestation de soins de qualité et la formation continue des professionnels de la santé.

Les laboratoires du CISSS de l’Outaouais, à l’exception de celui de Gatineau, utilisent une méthode manuelle pour analyser les cellules sanguines. Cela implique une utilisation intensive de microscopes par les technologistes médicaux, ce qui est fastidieux et demande beaucoup de concentration.

Pour améliorer cette situation, le Cellavision DM1, un équipement automatisé, est la solution. Cet outil permet une analyse rapide et précise des cellules sanguines grâce à une technologie avancée de numérisation et d’analyse d’images.

Sans cette amélioration, les patients de l’Outaouais risquent de recevoir un service moins efficace avec des risques d’erreurs plus élevés et une qualité de résultats inférieure. Les retards dans les traitements pourraient entraîner des conséquences graves, et la compétitivité du CISSS de l’Outaouais en tant qu’employeur serait compromise en raison de l’obsolescence de ses équipements.

Actuellement, les patients en soins palliatifs à l’hôpital de Gatineau et de Hull peuvent parfois recevoir la visite de leur chien ou chat s’ils sont vaccinés, mais cela se fait avec des règles strictes. L’équipe médicale souhaite étendre l’utilisation de la zoothérapie pour offrir plus de réconfort aux patients, notamment en faisant intervenir des animaux spécialement formés.

La solution proposée consiste à faire intervenir la zoothérapie à l’hôpital de Gatineau et de Hull toutes les deux semaines, avec des séances de 2 heures et demie. Ces séances seraient assurées par Francine Guiet et son chien Bilou, formés et reconnus pour ce type de thérapie. Ce service serait d’autant plus important maintenant, car il y a moins de bénévoles disponibles depuis la pandémie de Covid-19.

Sans ce projet, les patients en soins palliatifs ne pourront pas bénéficier des avantages de la zoothérapie, ce qui signifie qu’ils manqueraient des opportunités de soulagement du stress, de réduction de l’anxiété et d’amélioration de leur humeur et de leur bien-être général.

L’unité de soins intensifs de l’Hôpital de Gatineau est une unité semi-ouverte de 4 lits qui joue un rôle régional crucial, couvrant une gamme étendue de spécialités médicales telles que l’ORL, la cancérologie, l’urologie, la gastroentérologie, la santé mentale, la pédiatrie et la gynécologie-obstétrique dans la région de l’Outaouais. Cependant, elle souffre depuis longtemps d’un manque chronique de lits en soins intensifs. Actuellement, le taux d’occupation de l’hôpital est très élevé. De plus, les hôpitaux de Maniwaki et de Papineau sont souvent contraints de refuser l’accès faute de personnel qualifié aux soins intensifs depuis près de 2 ans.

L’achat d’équipement pour 2 stations de monitorage devient donc une priorité afin d’offrir des soins de qualité et de maintenir l’excellence des services de cette unité. Ce type d’équipement permet la surveillance, l’affichage, la révision, le stockage et l’alarme de multiples paramètres physiologiques des patients. Celui-ci est donc essentiel pour prévenir, contrôler et détecter hâtivement les variations des paramètres physiologiques de ces usagers. Ainsi, il rend possible l’évaluation des répercussions des actions des professionnels de l’unité, guide les traitements et améliore les chances de récupération des patients.

Sans cet équipement, leur capacité à fournir des soins intensifs efficaces sera compromise. Le personnel sera limité dans les admissions en soins intensifs et cela risque de mettre en danger la vie des patients. De plus, la capacité à assurer une prise en charge optimale sera réduite, ce qui pourrait entraîner des complications supplémentaires pour les patients.

L’équipe des soins palliatifs à Gatineau souhaite obtenir deux fauteuils auto-souleveurs pour cinq de ses chambres. Ces fauteuils offriront un meilleur confort et faciliteront les mouvements pour la plupart des patients, indépendamment de leur état de santé.

Les fauteuils auto-souleveurs permettent aux patients de s’asseoir et de se lever facilement, ainsi que de s’allonger confortablement. Ils favorisent l’autonomie des patients, préviennent les risques de blessures et de chutes, et sont faciles à nettoyer et désinfecter.
Sans ces fauteuils, il y aura une inégalité dans les services offerts aux patients en soins palliatifs, certains étant privés de confort et de mobilité. Cela augmente le risque de blessures, de chutes et de propagation des infections.

Lorsque la santé et la vie d’une personne est en jeu, l’accès rapide aux outils est crucial. Actuellement, certains outils essentiels sont limités en disponibilité et ne sont pas toujours à portée de main. Par exemple, pendant des procédures telles que la coronarographie et l’angioplastie cardiaque, un patient peut subir un choc cardiogénique: une situation critique souvent causée par une rupture artérielle ou une tamponnade cardiaque.

Dans ces cas, l’appareil d’échographie devient un outil crucial, mais les cliniciens doivent se déplacer vers une autre unité pour en obtenir un. Cette démarche prend de précieuses minutes pour le patient instable, nécessitant un traitement rapide afin d’éviter des conséquences irréversibles.

Afin de remédier à ce scénario, la solution est d’intégrer un appareil d’échographie portatif directement dans la salle d’hémodynamique. Cette initiative vise à minimiser les retards liés à la recherche de l’équipement nécessaire, assurant ainsi une réponse plus rapide et plus efficace aux urgences cardiaques. La disponibilité immédiate de l’appareil d’échographie au chevet permettra aux cliniciens d’effectuer des évaluations en temps réel, facilitant ainsi des décisions médicales éclairées et une intervention rapide. Cette intégration de l’échographie portative dans la salle d’hémodynamique s’avère cruciale pour optimiser les soins, réduire les délais d’intervention et améliorer les résultats pour les patients confrontés à des situations cardiogéniques urgentes. En fin de compte, cet ajout contribuera à renforcer l’efficacité des procédures médicales, offrant une solution pratique pour les professionnels de la santé confrontés à des urgences cardiaques aigües.

Dans ce moment délicat de leur vie, les patients en soins palliatifs des hôpitaux de Hull et de Gatineau se trouvent isolés. Malheureusement, il ne reste qu’un seul bénévole disponible pour les distraire, et malgré la présence de leurs familles, les patients ressentent un profond ennui. La télévision, souvent la seule compagnie, ne parvient pas à combler ce vide.
Pour apporter douceur et réconfort, l’arrivée du Clown Tendresse dans l’unité de soins palliatifs est l’option envisagée. Ce clown, empreint de tendresse et de compassion, offrira une présence légère et bienveillante. Avec ses gestes tendres et son écoute attentive, il saura apporter un souffle de joie et d’apaisement, colorant ainsi les journées des patients et de leurs proches.

Sans cette présence délicate, les patients risquent de ressentir une détresse psychologique accrue, ce qui peut aggraver leurs symptômes physiques et nuire à leur bien-être global en fin de vie.

L’unité médicale du 5e Nord, compte dans sa clientèle hospitalisée une prédominance de personnes âgées, dont un grand nombre sont sous traitement oncologique. L’une des missions cruciales des médecins est de prendre en charge cette clientèle spécifique, notamment à travers des procédures récurrentes de prélèvements sanguins.

Malheureusement, les traitements peuvent infliger aux veines une fragilité accrue, rendant la tâche de prélèvement délicate. La fragilité des veines conduit fréquemment à des éclatements, entrainant plusieurs tentatives et occasionnant un inconfort, une douleur, et une expérience invasive pour le patient.
Dans ce contexte, l’appareil AccuVein se présente comme une solution novatrice. Grâce à sa technologie utilisant une lumière rouge, il met en évidence les tracés veineux du patient, permettant ainsi d’effectuer un prélèvement en une seule prise précise. Cette approche évite non seulement l’induration veineuse, mais réduit significativement la douleur, les ecchymoses et la durée globale de l’intervention pour les infirmiers et infirmières. En conséquence, l’utilisation de l’AccuVein vise à améliorer l’expérience des patients, minimiser les complications associées aux prélèvements sanguins répétés et optimiser l’efficacité des professionnels de la santé. L’impact de cet appareil va au-delà du simple aspect technique, il englobe également des bénéfices tangibles pour les patients, améliorant leur qualité de vie pendant les traitements.

La réduction des tentatives de prélèvement contribue non seulement à atténuer les inconvénients physiques, mais offre également un soulagement psychologique en limitant le stress associé à ces procédures. De plus, en minimisant la durée des interventions, l’AccuVein permet au personnel médical de consacrer davantage de temps à des aspects essentiels des soins, renforçant ainsi la qualité globale des services fournis. De plus, puisque l’appel d’anesthésiste est necéssaire afin d’installer un cathéter veineux, l’autonomie est accrue dans ce secteur. L’adoption de l’AccuVein s’inscrit ainsi dans une démarche visant à améliorer l’efficacité des soins, tout en créant un environnement hospitalier plus humain et confortable.

Les patients admis en soins palliatifs sont actuellement dirigés vers l’unité de soins palliatifs au 6e étage. Malheureusement, dans ces locaux, il n’y a que deux chambres dédiées, équipées de matelas adaptés à leur condition. Ces patients, déjà fragiles, sont alités rapidement et sont exposés à un risque élevé de plaies et d’inconfort, ce qui rend leur fin de vie encore plus difficile.

Pour améliorer la qualité de vie de ces patients, il est proposé d’acheter huit matelas Iso Flex LAL TM pour les chambres privées du 6e étage. Ces matelas spécialement conçus offrent une haute capacité de redistribution de la pression, ce qui permettra aux patients en fin de vie de mieux gérer la douleur et l’inconfort liés à leur condition. Grâce à une meilleure répartition de la pression et à la gestion du cisaillement, ces matelas aideront à prévenir l’apparition de plaies.

Si cette initiative n’est pas mise en œuvre, le sentiment de collaboration au sein du personnel soignant et médical pourrait diminuer. Malgré leurs efforts et leur énergie pour fournir des soins bienveillants de qualité, le manque d’équipement adéquat pourrait entraver leur capacité à offrir un confort optimal aux patients en fin de vie. Il est essentiel de reconnaître que la qualité des soins commence par la qualité du matériel utilisé.

À l’hôpital de Hull, certains patients de médecine et de chirurgie attendent longtemps pour une place dans une autre ressource externe ou en raison de complications de santé. Les lits d’hôpital peuvent être inconfortables, voire causer des plaies de pression chez les personnes âgées.

L’acquisition de quatre matelas thérapeutiques pour l’hôpital de Hull, répartis selon les besoins les plus urgents des patients, offriront ainsi des soins de qualité supérieure aux cas graves nécessitant une réadaptation et des soins de plaie complexes.

Sans cette initiative, le personnel soignant continuera à fournir les meilleurs soins possibles avec les ressources disponibles. Cependant, de nombreux patients pourraient bénéficier de ces matelas dans les années à venir.

Depuis son déménagement, la clinique de premiers épisodes psychotiques (PEP) est confrontée à un défi majeur : l’indisponibilité des équipements médicaux essentiels, car ils devaient rester à leur ancienne adresse.

Sans ces équipements, ils ne peuvent pas fournir des soins infirmiers de qualité à leurs patients. Malheureusement, le coût de ces équipements dépasse largement le budget clinique. Ils ont un besoin critique de :
1. Une table d’examen multifonctionnelle : Cette table permettrait aux patients de recevoir leurs injections ou leurs prises de sang dans un environnement confortable et sûr, sans avoir à utiliser plusieurs chaises pour se coucher, ce qui est actuellement le cas.
2. Un moniteur de signes vitaux : Cet appareil serait vital pour évaluer rapidement et précisément l’état de santé des patients, améliorant ainsi leur suivi médical et garantissant des soins adaptés à leurs besoins.

Sans ces équipements, les patients continueront à recevoir des soins de qualité inférieure. De plus, les infirmiers et infirmières courent le risque de blessures et de douleurs liées à l’ergonomie inadéquate de leur environnement de travail.

Le CISSS de l’Outaouais gère trois centres d’activités de jour pour les personnes ayant une déficience intellectuelle (DI) ou un trouble du spectre de l’autisme (TSA). Un de ces centres, situé au 594 boulevard de l’hôpital, accueille des personnes polyhandicapées avec de grandes limitations. Malheureusement, ce centre n’a pas d’espace extérieur pour les activités, privant ainsi les usagers d’expériences en plein air.

Pour remédier à cette situation, il faut aménager un espace extérieur adapté aux besoins de ces usagers. Cet environnement extérieur favorisera leur développement en leur offrant de nouvelles expériences et en leur permettant d’acquérir de nouvelles compétences, telles que le jardinage et la socialisation dans un cadre sécurisé.

Sans cet aménagement extérieur, les activités se limiteront à l’intérieur tout au long de l’année. Les usagers ne pourront pas bénéficier des avantages de passer du temps à l’extérieur, ce qui entravera leur développement et leur bien-être.

Le programme de réadaptation et d’intégration visuelle (RIV) de l’établissement la RessourSe est le seul endroit en Outaouais à offrir des services spécialisés pour les personnes avec des problèmes de vision d’origine héréditaire, congénitale ou acquise. Leur clientèle présente souvent des déficiences visuelles associées à d’autres troubles tels que l’intellectuelle, du spectre de l’autisme, des troubles moteurs, auditifs ou neurocognitifs.

Les optométristes proposent l’utilisation de l’autoréfractomètre Handy Ref, un appareil permettant de mesurer rapidement et de manière non invasive les caractéristiques optiques de l’œil, notamment les défauts de réfraction comme la myopie, l’hypermétropie et l’astigmatisme. Cet appareil faciliterait les examens pour les usagers peu coopératifs ou difficiles à examiner, et permettrait également de mesurer la courbure de la cornée, essentielle pour ajuster les lentilles cornéennes chez les bébés ayant subi une opération pour des cataractes congénitales.

Sans l’autoréfractomètre Handy Ref, ils continueront à rencontrer des difficultés pour réaliser des examens de réfraction précis, en particulier chez les enfants et les usagers ayant des besoins particuliers. Cela pourrait entraîner des retards dans la prise en charge et une dépendance accrue à des référents externes pour obtenir des données cliniques essentielles, affectant ainsi la qualité des services qu’ils peuvent offrir.

Le traitement standard pour le cancer de la prostate et de curiethérapie est composé de cinq traitements par semaine sur une période de 4 semaines. Ceci représente un investissement de temps très élevé pour les patients. Ainsi, l’objectif de cette étude est de comparer le traitement standard avec un traitement facilitant pour le patient, soit un traitement composé de cinq traitements sur deux semaines.

La participation à cette étude permettra donc de :

• Contribuer, avec les nombreux hôpitaux du Québec, à la standardisation de cette technique;
• Être moins exigeant pour le patient et de réduire ses déplacements;
• Traiter davantage de patients;

En l’absence de ce projet, les patients devront continuer à suivre le traitement standard, ce qui nécessite plus de temps et de déplacements. Cela pourrait aggraver la difficulté à répondre aux besoins des patients à long terme en raison de la pénurie de ressources humaines.

Dans les centres d’hébergement, le confort des résidents est une préoccupation majeure. Les personnes hébergées, notamment dans les CHSLD, sont souvent sujettes à développer des plaies de pression, ce qui entraîne des inconforts et des complications supplémentaires.

Pour aider à la guérison et prévenir ces problèmes, il est essentiel d’investir dans des lits et des surfaces thérapeutiques à alternance d’air. Ces équipements sont efficaces et appréciés par les résidents qui les utilisent. Actuellement, les centres d’hébergement louent ce type de matériel, ce qui engendre des coûts importants. En achetant deux matelas de ce type, les centres pourront fournir plus rapidement des équipements adaptés aux besoins des résidents et réduire ainsi les risques de plaies de pression.

Le manque de ces équipements a un impact direct sur la perte d’autonomie et le confort des résidents. Il entraîne également une augmentation du temps d’intervention pour traiter les problèmes de plaies de pression, ce qui peut aggraver les conditions de santé des résidents et augmenter les coûts de prise en charge à long terme.