Votre aide est essentielle pour continuer d’améliorer les soins de santé et de services sociaux en Outaouais. Avec un engagement de plus de 4 000 000 $ en projets d’investissement auprès du CISSS de l’Outaouais, votre support continu est primordial à la réalisation de ces projets.
Voici un exemple tangible des nombreux projets pour lequel nous avons besoin de votre aide et qui aura un impact concret, tant auprès des travailleurs de la santé que des patients.
Au sein des établissements du CISSS de l’Outaouais, il y a une grande demande pour plusieurs petits équipements essentiels à la réalisation des tâches récurrentes effectuées par les professionnels de soins. Actuellement, en raison du budget disponible, plusieurs appareils doivent être partagés entre les services. Cette approche n’est pas optimale, puisqu’elle nécessite des déplacements sur d’autres étages, entraînant une diminution du temps accordé aux patients.
Avec l’objectif d’améliorer la fluidité des services, une meilleure efficience de l’utilisation du temps des intervenants et offrir un meilleur service aux usagers, un inventaire des besoins en petits équipements essentiels a été pour chacun des installations.
Milieu hospitalier : 200 150 $ > En savoir plus
CHSLD : 147 800 $ > En savoir plus
Hôpital en santé mentale Pierre-Janet : 21 600 $ > En savoir plus
Centre de réadaptation en déficience physique La RessourSe : 5 160 $ > En savoir plus
Ce projet n’est qu’un exemple des nombreux besoins au sein du CISSS de l’Outaouais. Votre aide est essentielle pour la réalisation de ces projets. La contribution que vous faites aujourd’hui aidera les professionnels de la santé en leur offrant de meilleurs outils de travail.
Moi, ça ne m’étonne pas d’apprendre que la facture s’élève à 150 000 $ pour les besoins en petits équipements dans les CHSLD. Ça fait longtemps qu’il nous manque des équipements, on a l’impression qu’on court toujours après quelque chose. Pour vulgariser la situation, j’ai envie de transposer le problème dans un autre contexte. Si un employé qui fait du travail de bureau n’a pas de gomme à effacer et qu’il doit aller l’emprunter à un collègue qui travaille deux étages plus bas à chaque fois qu’il en a besoin, vous trouveriez cela aberrant ? Eh bien c’est ce que nous vivons à chaque jour ! Heureusement nos patients sont compréhensifs, ils savent que l’on fait de notre mieux et ils l’apprécient.
– Nadia Couillard, Infirmière
Nous prenons soins de plusieurs patients à la fois et si on doit revenir parce que l’équipement que nous avons besoin n’est pas disponible, ça fait beaucoup à gérer et ça ajoute à notre charge mentale. C’est fâchant de ne pas avoir tous les outils à notre disposition. Quand on fait notre évaluation du patient, on doit prendre la température et ça nous prend cette information immédiatement. On n’a pas le temps de commencer à courir sur les étages après un thermomètre. On pourrait être plus efficace si tout était à notre portée. Au début de la crise l’an passé, nous devions prendre la température de chacun des résidents à tous les jours, mais on avait juste 1 thermomètre frontal pour deux étages. (…) Ça fait du bien de voir la générosité des donateurs car on se sent supportés par la population.
– Marika Bourassa Choquette, Infirmière
Ici, nous avons 1 glucomètre pour 3 étages. Ça m’est arrivé de dire qu’on ne pouvait pas prendre le taux de glycémie d’un patient parce qu’on ne trouvait pas le glucomètre. Ou encore parce qu’il est utilisé ailleurs et quand il est disponible, il est trop tard, le patient a déjà mangé. Et on se fait constamment déranger pour se faire demander si c’est nous qui avons le glucomètre. Ça crée même des chicanes parfois. On se reproche d’être parti avec de l’équipement et avoir oublié de le ramener.
– Laurentine Sikuzani, Infirmière
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