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Actuellement, le laboratoire d’hématologie de l’hôpital de Gatineau utilise une méthode manuelle pour préparer et colorer les échantillons sanguins. Cette méthode est longue, difficile et exige beaucoup de concentration.

En continuant d’utiliser cette méthode, les patients de l’Outaouais sont moins bien servis, exposés à des risques d’erreurs à la hausse et la qualité des résultats est sous-optimale. Certains patients pourraient subir des retards dans leur traitement, ce qui peut entraîner des conséquences graves. De plus, en raison de la concurrence avec Ottawa et de la pénurie de personnel, le CISSS de l’Outaouais pourrait rencontrer des difficultés pour attirer de nouveaux travailleurs en raison de l’obsolescence de ses équipements.

La solution à ce défi est d’acquérir un « étaleur colorateur automatisé en hématologie. » Cette machine peut automatiquement colorer les échantillons sanguins pour les analyses. Elle standardise le processus, réduit les erreurs humaines, et améliore la qualité des résultats. Elle fonctionne en étalant une petite goutte de sang sur une lame de verre et en la colorant avec des produits spéciaux. Cela permet d’observer les cellules sanguines plus facilement au microscope.

Actuellement, les équipements de conditionnement physique utilisés par les patients de l’hôpital Pierre-Janet sont en bien mauvais état. Certains d’entre eux sont si vieux qu’ils proviennent de dons reçus en 1993. De nombreuses pièces manquent sur les équipements cardiovasculaires, ce qui les rend dangereux à utiliser, et certains ne respectent même plus les règles de prévention des infections, car leur état ne permet plus de les désinfecter.

De plus, ces équipements désuets et inutilisables nuisent à la motivation des usagers. L’offre d’activités est limitée, et les patients n’ont pas la possibilité de pratiquer leur sport préféré ou de s’entraîner selon leurs préférences. En somme, la situation actuelle est loin de respecter les normes de santé publique émises depuis 2021.

Si les installations ne changent pas, les usagers perdront de plus en plus leur intérêt pour les activités physiques, car les équipements ne répondent pas à leurs besoins. La motivation diminuera, et l’offre de services continuera à se réduire. En outre, le risque de contamination augmentera en raison de l’état délabré des équipements.

Pour remédier à cette situation, il faut rénover les installations de conditionnement physique à l’hôpital Pierre-Janet, comprenant le remplacement des équipements désuets par des équipements modernes et sécuritaires.

La clinique ORL des cliniques externes de l’hôpital de Gatineau est actuellement équipée d’un unique laryngoscope pédiatrique pour prendre en charge sa clientèle, dont environ 5 à 10% sont des enfants. Cela crée un problème majeur, car un seul laryngoscope limite leur capacité à diagnostiquer et traiter les enfants. De plus, il faut prendre en compte le temps de stérilisation requis après chaque utilisation, ce qui engendre des retards dans le processus de consultation pédiatrique.

La solution afin remédier à cette situation consiste à acquérir un deuxième laryngoscope pédiatrique. En ayant deux de ces instruments à disposition, la clinique serait en mesure d’accélérer le processus de consultation pédiatrique en évitant les délais dus à la stérilisation du premier laryngoscope.

Sans ce deuxième équipement, les conséquences sont significatives. La clinique n’est capable de diagnostiquer qu’un seul enfant par jour. De plus, en cas de panne ou de dysfonctionnement du laryngoscope existant, il n’y a pas de solution de rechange, compromettant ainsi la qualité des soins pédiatriques fournis par la clinique.

Actuellement, au 155 Freeman, trois unités – Plateau, Relais et Sentier – hébergent 28 jeunes âgés de 12 à 17 ans, confrontés à des difficultés d’adaptation sérieuses. En parallèle, un Centre de jour accueille environ quinze jeunes en situation de grand besoin, offrant des cursus en français et en anglais pour les préparer à la vie adulte. Tous ces jeunes font face à des troubles de comportement majeurs, comme la fugue, la violence, la consommation, des comportements sexuels à risque, et des idées suicidaires. De plus, certains d’entre eux souffrent de problèmes de santé mentale. Souvent issus de milieux socio-économiques défavorisés et dysfonctionnels, ces jeunes sont confrontés à des défis significatifs.

Dans le cadre de la programmation de l’ensemble des unités, du Centre de jour et du mandat de réadaptation, des activités physiques répondant à différents besoins des jeunes sont planifiées. Ces activités visent à favoriser le développement d’habiletés sociales, la gestion des émotions, la collaboration, l’entraide, le dépassement de soi, et la valorisation de ces jeunes. Elles constituent un moyen essentiel de normaliser leur quotidien en leur offrant un environnement propice à leur épanouissement.

Dans l’optique de soutenir ces jeunes dans leur processus de réadaptation et de développement, il est impératif de disposer de matériel sportif et récréatif adéquat, ainsi que d’une réorganisation efficace des installations. Actuellement, les installations sportives (gymnase, salle d’entraînement, agora et salle de rangement) sont désuètes et ne sont pas convenablement équipées, et elles manquent d’attrait pour les jeunes.

Sans ce projet, l’accès des jeunes à des activités sportives et récréatives est limitée, malgré qu’essentielle à leur développement. Leur propension à la fugue ainsi qu’à des comportements à risque demeurent élevés. En ne faisant rien, ces installations resteront sous-utilisées, n’apportant pas les avantages nécessaires à l’épanouissement des jeunes en difficulté. Leur manque d’opportunités pour progresser persistera, et ils demeureront exposés à des comportements à risque. Par conséquent, leur qualité de vie demeurera insatisfaisante, et leurs chances de réussir leur processus de réadaptation en seront diminuées. Il est impératif d’offrir aux jeunes les outils dont ils ont besoin pour prospérer.

Il arrive trop fréquemment que de nouveau-nés prématurés quittent la néonatalogie en n’étant pas exclusivement allaités par crainte de prise de poids insuffisante. D’instinct, le personnel impliqué donne des biberons en supplément à l’allaitement puisqu’il est actuellement incapable de savoir si le nouveau-né a suffisamment consommé du lait maternel.

L’introduction du supplément a souvent pour conséquence d’écourter la durée de l’allaitement ainsi que d’impacter la quantité de lait maternel consommé.

Une balance calibrée au gramme près permettrait aux spécialistes de prendre le poids du bébé avant et après chaque boire afin de mesurer, de façon beaucoup plus précise, la quantité de lait maternel ingéré. Ainsi, cet équipement rendrait une évaluation juste des compétences du bébé au sein. Dans les cas où la quantité de lait maternel consommé est adéquate, cette balance permet de diminuer les doses de supplément, à donner au biberon, et maximise les chances que l’allaitement de maman perdure.

The CISSS de l’Outaouais’s cytology laboratory is facing a major issue. There is a considerable backlog of 10,000 Pap tests that have yet to be analyzed, representing a delay of 7 months – far exceeding the departmental target of just 3 months. This situation is particularly worrying for public health and the cervical cancer screening program. The main factor is a critical shortage of human resources, causing the delay in analysis.

Faced with this challenge, the laboratory management team at CISSS de l’Outaouais has devised a pioneering solution: a complete cervical cancer screening system using liquid-based Pap tests (ThinPrep).

What is a liquid-based Pap test ? This test involves taking a sample of cervical cells with a spatula or brush in the same way as a conventional Pap test. However, instead of transferring the sample directly to a microscope slide, the sample is first placed in a specially designed liquid medium (transport solution). This preserves the cells better and prevents them from dispersing.

The liquid-based Pap test (ThinPrep) thus provides better cell preservation, which can enhance sample quality and reduce the number of unusable samples.

• It is slightly more sensitive than the conventional Pap test, which means it is better at detecting precancerous or cancerous cells.
• Results from the liquid-based Pap test can be used to perform additional molecular tests, such as human papillomavirus (HPV) screening, if needed.
• It is less likely to give false negative results because the cells are better preserved.

The proposed solution is as follows:

1. A single liquid specimen for both cytology (Pap tests) and molecular testing, providing greater patient comfort (due to reduced scratching and irritation).
2. Use of a molecular analyzer capable of processing 275 tests in just 8 hours.
3. Automated sample sorting that sends only HPV-positive samples to the sample transfer analyzer, eliminating the need for manual sample transfer to slides.
4. Use of an automated ThinPrep analyzer to prepare slides from the liquid medium.
5. Slide staining.
6. A cytotechnologist assigned to read slides.

It should be noted that this procedure will also be used for urine cytology analysis.

Failure to implement this project could have serious consequences for women and public health in general. Long delays create backlogs in the diagnosis of cervical cancer for women, increasing risks of medical complications and the need for aggressive treatments. The delays also reduce the quality of care for women in the Outaouais and put unnecessary pressure on the staff.

Actuellement, les chirurgiens du bloc opératoire de Hull doivent compter sur un technicien en radiologie, souvent surchargé, pour effectuer des radiographies lors des opérations aux extrémités, comme les mains, les poignets, les clavicules et les chevilles, ce qui peut être problématique.

La solution serait d’utiliser un mini-C arm, un appareil de radiographie portable que les chirurgiens pourraient utiliser directement pendant les opérations. Cela libérerait le technicien en radiologie et simplifierait la planification des opérations impliquant plusieurs cas nécessitant une radiographie en même temps. De plus, certaines interventions mineures pourraient être réalisées directement au lieu de passer par une salle d’opération, réduisant ainsi le temps opératoire.

L’unité de néonatalogie est un environnement ayant de nombreuses sources de lumière artificielle, de sons provenant des équipements médicaux et de mouvements de l’équipe de soins qui se traduisent en un endroit sur-stimulant pour les nouveau-nés malades. Cette réalité ne favorise aucunement leur sommeil rendant la récupération difficilement atteignable. Ceci représente donc un réel défi pour le développement optimal de ces tout-petits.
Actuellement, les nouveau-nés malades sont placés sur une table chauffante afin d’assurer des soins sécuritaires en situation urgente. Cependant, cet équipement n’est pas suffisant pour un plein développement de ces bébés. L’acquisition d’incubateurs pour soins ouverts et fermés renverserait la donne grâce à l’option qu’ils offrent d’exposer ou pas le nouveau-né au type d’environnement dans lequel il séjourne. Ainsi, les chances d’un rétablissement complet de ces derniers se voient maximisées en plus de diminuer la durée du séjour à l’hôpital. Ceci leur permettraient donc d’être accueillis plus rapidement dans leur nid familial.

Depuis que le programme Agir tôt a intégré un volet de surveillance, les infirmières du CISSS de l’Outaouais ont pris l’habitude d’identifier systématiquement les retards moteurs chez les enfants lors de leur vaccination de 18 mois. Ce suivi accru a eu pour conséquence une augmentation significative du nombre d’enfants référés a service d’ergothérapie. En dirigeant ces enfants vers le service dès les premiers signes de retard, il est possible d’intervenir précocement pour les aider à surmonter diverses difficultés de développement grâce à des thérapies adaptées à leur jeune âge.

Afin de garantir la qualité des services offerts, l’acquisition de matériel spécifique est primordiale. Ce matériel serait dédié aux secteurs urbains de Gatineau et des Collines et servira à améliorer la prise en charge des enfants de deux ans et moins en ergothérapie. Les équipements essentiels incluraient des chaises hautes ergonomiques Trip Trap avec babyset, des cabarets Tripp Trapp, des z-vibe en plastique, des embouts en forme d’animaux souples, et bien d’autres.

Présentement, sans ces équipements, les familles des secteurs urbain et des Collines peuvent être confrontées à des difficultés pour accéder à des services d’ergothérapie de qualité, en particulier en ce qui concerne les besoins liés à l’alimentation. Les enfants doivent se rendre au CLSC de Gatineau, où le matériel adéquat est actuellement disponible. Cette inégalité pénalise particulièrement les familles vulnérables qui ne peuvent pas se permettre de se déplacer. La qualité du service offert est diminuée, ainsi que les chances d’atteindre les objectifs thérapeutiques et de rattraper les retards moteurs des enfants, impactant à long terme la vie de ceux-ci.

En plus, le maintien de l’utilisation de matériel inadapté augmente le risque de chute et d’étouffement pour les enfants dans des chaises hautes non conçues pour la thérapie, en plus d’amplifier le risque de morsure pour le personnel lors des thérapies de désensibilisation orale et une diminution de la fluidité du service.

Dans le but de désengorger les urgences de la région, une clinique 0-10 jours fut mis en place permettant ainsi de mieux desservir la clientèle en post-partum immédiat. La clinique est localisée en périnatalité hospitalière à l’hôpital de Gatineau, ce qui permet de revoir plus rapidement les nouveau-nés et les mamans nécessitant une évaluation ou un suivi médical. Cette façon de fonctionner réduit considérablement le nombre de visites à l’urgence et assure ainsi une prise en charge rapide de la clientèle.

Grâce à l’équipe de périnatalité hospitalière, cette initiative locale a vu le jour sans budget additionnel. Ceci explique pourquoi cette clinique est en besoin d’un ensemble diagnostique mural ainsi que d’un moniteur à signes vitaux, sur les lieux, afin de faciliter une réponse efficace à la demande des usagers. En ayant un recours rapide à ces équipements, nos experts soignants pourront, plus efficacement, offrir des soins de qualité.

Les deux salles de débordement pour les accouchements et les quatre salles de triage de l’unité d’obstétrique de l’hôpital de Gatineau sont actuellement équipées de lampes sur pied. Ces lampes fournissent un éclairage intense qui peut être éblouissant pour le personnel soignant. Elles sont montées sur un poteau avec un grand pied à roulette et doivent être déplacées manuellement pendant les interventions. Cela entrave l’accessibilité à la mère et à l’enfant lors des accouchements, ce qui peut être dangereux. De plus, ces lampes encombrent l’espace et peuvent gêner les manœuvres d’urgence liées à l’accouchement.

Les salles de triage, utilisées pour les visites obstétricales liées à la perte de liquide amniotique ou aux saignements, sont également équipées de lampes sur pied. Cela rend ces salles encombrées, non-ergonomiques et augmente le risque de chute ou de blessure pour les patients et le personnel.
Cette situation compromet la qualité des soins obstétricaux. Elle augmente le risque de chute ou de blessure, limite l’accessibilité aux patients lors des interventions et rend les manœuvres d’accouchement plus difficiles. Cela peut entraîner des conséquences négatives sur la sécurité des patients et du personnel soignant.

Pour résoudre ces problèmes, il est primordial d’installer des lampes obstétricales au plafond dans les six salles de l’unité d’obstétrique de l’hôpital de Gatineau (utilisées en cas de débordement). Ces lampes au plafond, de la marque Dr Mach et sont approuvées par le Groupe CSA, un organisme mondial dédié à la sécurité des appareils médicaux.

En Outaouais, les femmes sont de plus en plus nombreuses à vouloir accoucher de façon naturelle. Lorsqu’en douleur, la péridurale s’avère la dernière alternative à laquelle ces femmes souhaitent recourir. Cependant, à l’hôpital de Gatineau, celle-ci demeure l’une des seules options disponibles pour les apaiser. Présentement, aucun appareil n’est accessible afin d’offrir l’option d’utilisation du protoxyde d’azote à cet hôpital.

L’effet analgésique léger du protoxyde d’azote a été observé à de nombreuses reprises et est particulièrement apprécié de la part des futures mamans. Cette alternative est souvent utile chez la femme qui atteint la transition et qui a besoin d’une brève analgésie afin de compléter son accouchement de manière plus sereine. Autre que l’analgésie, les bénéfices du protoxyde d’azote incluent la relaxation, la distraction de la douleur, l’anxiolyse ainsi qu’une hausse de la capacité perçue à tolérer la douleur.

La Direction des programmes jeunesse a reçu le mandat de rouvrir le CSAPO à l’automne 2022, maintenant appelé la Clinique 0-17 ans. Cette clinique offre une alternative à la consultation à l’urgence pour les enfants de 0 à 17 ans qui n’ont pas de médecin de famille ou d’infirmier praticien de première ligne. Elle est référée par diverses sources, y compris le 811, le GAP, les urgences pour les patients de priorité 4 et 5, ainsi que les infirmières des services de périnatalité communautaire et hospitalière.

Les locaux de la Clinique 0-17 ans se trouvent au 500 boulevard de l’hôpital, mais ils posent actuellement des problèmes en raison de leur petite taille et de l’équipement désuet. Un rapport de santé et sécurité au travail datant du 14 septembre 2022 a identifié plusieurs risques pour le personnel et les patients, notamment des problèmes de posture en raison du manque d’espace, un accès difficile aux espaces de travail, des risques biologiques, et des risques de blessures. De plus, les tables d’examen actuelles ne sont pas réglables en hauteur, ce qui augmente les risques de blessures pour les patients et le personnel soignant. Certaines tables sont en mauvais état, et le matériel est cassé, ce qui compromet la prévention des infections. Dans certaines salles, il n’y a même pas de tables d’examen, mais plutôt des matelas posés sur des comptoirs.

Pour remédier à cette situation, l’acquisition de nouvelles tables d’examen pour la Clinique 0-17 ans est indispensable. Un total 3 tables d’examen médical et de 2 tables d’examen infirmier devront être acquises. L’obtention de ces tables permettrait d’améliorer la qualité et la sécurité des soins pour les patients et le bien-être des employés.

Lorsque nos tout-petits doivent séjourner à l’hôpital, tout parent souhaite que l’expérience soit la plus calme et confortable possible. Lorsqu’un enfant doit se faire installer un périphérique intraveineux, il peut arriver que l’identification des veines soit difficilement réalisable. Dans certains cas, le personnel soignant doit faire appel à l’équipe de radiologie, à un anesthésiste ou d’autres centres tertiaires, qui eux, ont les outils nécessaires. En plus d’engendrer des coûts et des délais supplémentaires, ceci peut rapidement rendre la situation défiante et stressante autant pour les parents, l’enfant que les professionnels.

De l’équipement, tel un appareil échographique ainsi qu’une lampe chauffante viendrait remédier à ce type de situation. L’appareil faciliterait l’installation des accès intraveineux périphériques de ces enfants et la lampe chauffante éviterait des risques de perte thermique lorsque les soins à prodiguer nécessitent que l’enfant soit dévêtu. De toute évidence, ces équipements rendraient l’expérience beaucoup plus douce et humaine.

Dans le but de réaliser son mandat de réadaptation et de soutenir le développement de ses jeunes, le Centre de Jour des unités du Plateau et du Complexe Freeman met une programmation de l’avant incluant des activités de toutes sortes dont des activités sportives, culturelles, sociales et académiques. Ce programme vise le développement d’habiletés sociales, de collaboration, d’entraide et de valorisation des jeunes y résidant. Bref, le dépassement de soi de chacun d’entre eux. Il est à noter que ces activités ainsi que les pauses des différentes unités se déroulent souvent à l’extérieur afin d’en maximiser les résultats.

Actuellement, les installations de structures et l’aménagement des espaces extérieures répondent principalement à une clientèle beaucoup plus jeune d’âge et ne s’alignent pas nécessairement aux motivations et intérêts des adolescents. Ceci rend donc l’engagement, à leur développement, plus défiant surtout avec les mesures d’empêchement devenues beaucoup plus rigides depuis 2019. Ces derniers se voient restreints aux installations du Centre pour des périodes pouvant aller jusqu’à 30 jours à la fois.

C’est pourquoi le réaménagement d’une section de la cour extérieure, répondant davantage aux besoins d’adolescents, rendrait leur séjour beaucoup plus attrayant et favorisant leur développement. Pour répondre à cette demande, il est suggéré d’aménager la cour de sorte qu’elle devienne sécuritaire et adéquate pour y séjourner. Ceci inclut l’installation de gazébos, de balançoires ainsi que de tables à pique-niques afin que les adolescents soient intéressés à passer du temps à l’extérieur et qu’un certain agrément s’installe au cœur de leur développement. Il est également recommandé d’y construire un jardin surélevé qui contribuerait au développement de nouvelles habiletés chez ces jeunes.