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Les listes d’attente pour la chirurgie est en constante augmentation et, malheureusement, la pandémie est venue exacerber l’augmentation de ces délais. Ceux-ci peuvent entraîner une détérioration de la condition pour laquelle la chirurgie est nécessaire en plus d’augmenter les risques de développer d’autres problèmes de santé inhérents, sans compter l’impact sur la qualité de vie du patient et de sa famille. Au début de ce projet, plus de 9 000 demandes étaient en attente, toutes spécialités confondues.

Afin de contrer cette situation, il était primordial de faire l’acquisition d’équipement pour chirurgie en centres médicaux spécialisés puisque l’ajout et le rehaussement d’équipement additionnel pour la chirurgie permettentt de déployer, dans ces centres et dans les installations du CISSSO, davantage d’équipement pour améliorer l’accessibilité à la chirurgie et réduire les délais d’attente.

Depuis 2019, le ministère de la Santé et des Services sociaux a mis en place un nouveau programme concernant les soins buccodentaires en CHSLD. Afin que l’offre de service soit adéquate et adaptée, le CHSLD Ernest-Brisson a libéré un local pour l’hygiéniste dentaire et pour la dentiste. Cependant, avant chaque visite, celle-ci devait faire acheminer ses équipements ce qui rendait plus difficile d’offrir des soins de qualité, adaptés et sécuritaires aux résidents.

Afin de répondre aux besoins grandissants en soins buccodentaires des résidents et de leur offrir un service sécuritaire, adapté et personnalisé, le centre désirait créer une salle de dentisterie. Pour ce faire, l’acquisition de certains équipements tel qu’une station portative avec succion, un plateau avec 2 bras et un fauteuil adapté aux soins dentaires était requise.

Depuis 2019, le ministère de la Santé et des Services sociaux a mis en place un nouveau programme concernant les soins buccodentaires en CHSLD. Afin que l’offre de service soit adéquate et adaptée, le CHSLD Lionel-Émond a libéré un local pour l’hygiéniste dentaire et pour la dentiste. Cependant, avant chaque visite, celle-ci devait faire acheminer ses équipements ce qui rendait plus difficile d’offrir des soins de qualité, adaptés et sécuritaires aux résidents.

Afin de répondre aux besoins grandissants en soins buccodentaires des résidents et de leur offrir un service sécuritaire, adapté et personnalisé, le centre désirait créer une salle de dentisterie. Pour ce faire, l’acquisition de certains équipements tel une unité dentaire mobile, un plateau pour instrumentation, un détartreur portatif, une housse de protection, une plate-forme sur roulettes, des fauteuils gériatriques adaptés aux soins dentaires et des lunette de rapprochement pour l’hygiéniste dentaire était requis.

Océane est une jeune fillette de 12 ans qui présente un diagnostic de déficience intellectuelle légère à modérée associé à une déficience motrice cérébrale en raison d’AVC multiple. Toujours souriante malgré les défis, elle présente des limitations physiques importantes. Elle se déplace en fauteuil roulant et elle est dépendante de l’adulte pour tous ses transferts, une condition qui est permanente.

La famille Mckenzie a fait construire, dans les 3 dernières années, une maison un niveau avec sous-sol pleinement aménagé (salle de bain, cuisinette, salle familiale) en prévision du futur pour leur fille (appartement à venir pour Océane qui aura besoin de soutien toute sa vie). La fondation pour accueillir une cage d’ascenseur était déjà en place, ainsi que l’électricité pour le fonctionnement de l’ascenseur. Toutefois, la cage d’ascenseur manquait vu les frais élevés associés à celle-ci. L’accès à la cour arrière est possible seulement via une sortie au sous-sol. Océane a reçu son fauteuil électrique qui ne peut être descendu au sous-sol dans les bras de l’adulte étant donné son poids, ce qui causait un défi supplémentaire.

Océane est en pleine croissance, le déplacement de celle-ci dans les bras d’un adulte n’était plus une solution envisageable à long terme. Océane manquait des opportunités de socialiser avec ses frères dans la salle familiale et à l’extérieur puisque les parents limitent les descentes au sous-sol et dans la cour arrière puisqu’elles posaient un défi. Une situation qui limitait sa qualité de vie. Grâce à cet ascenseur, dans le futur, lorsque le sous-sol sera son appartement, Océane pourra monter à sa guise au premier étage visiter ses parents.

Les personnes âgées hébergées en CHSLD vivent, la plupart du temps, avec des difficultés à se mouvoir et sont malheureusement plus à risque de chute. Pour faciliter la mobilité et réduire le risque de chute et de blessures dues à celles-ci, les fauteuils médicalisés dits « autobloquants » étaient recommandés. Selon la chercheuse Nancy Watson de la University of Rochester School of Nursing, le bercement apporte réellement plus de tranquillité d’esprit chez les personnes âgées et atteintes de démence. S’il a bien été démontré qu’un doux mouvement répétitif procure un effet apaisant auprès des nourrissons, il a été démontré que la même chose est vraie chez une personne âgée souffrant de détresse émotionnelle.

Ce projet visait à financer l’achat de 16 fauteuils autobloquants de différentes grandeurs : 3 petits, 12 standards et 1 grand. Ces achats ont permis de distribuer les fauteuils aux 4 unités de vie du CHSLD La Pietà.

L’objectif des soins palliatifs et de fin de vie est de favoriser la qualité de vie et le confort. Pour ce faire, les chambres sont bien aménagées et confortables afin de créer une atmosphère qui se veut paisible et réconfortante pour les derniers moments de vie des patients.

Les 5 chambres ont été relookées et l’ajout d’une murale par chambre (bord de l’eau, nature, etc.) favorise maintenant davantage la détente des patients et de leur famille tout en créant un environnement ressemblant moins à l’hôpital.

Financé par la Fondation Santé Gatineau : 1 261 $

Les résidents hébergés en CHSLD ont le besoin de se recréer par différents moyens répondant à leurs intérêts et à leur niveau d’autonomie. Ils doivent également avoir la possibilité de créer des moments de détentes et de socialisation entre eux, avec les membres du personnel et aussi avec leurs proches.

Les jeux de société traditionnels sont utilisés, mais ils ont leurs inconvénients, tels : certaines petites pièces peuvent être facilement égarées, la planche de jeu nécessite une surface plane de bonne dimension qui ne peut pas toujours être installée dans la chambre des résidents (par exemple des Puzzles), certains résidents sont restreints dans leurs mouvements.

Une station de jeux virtuels portative Touch2Play Max – Senior est utilisée depuis 2021. Cependant, plus de 150 personnes habitent le CHSLD la Pietà. N’avoir qu’une station signifiait qu’elle devait être partagée parmi tous les utilisateurs, ce qui espaçait les séances.

Ce projet visait à faire l’achat d’une deuxième station, afin de permettre à un plus grand nombre de résidents d’en bénéficier.

La station est montée sur roues afin d’être déplacée et apportée au résident. Elle s’adapte à différentes situations puisque son bras est mobile (horizontale et verticale).

Un résident peut l’utiliser en position debout, assis sur une chaise, dans un fauteuil roulant et même au lit puisque la station a un pied compatible avec un lit électrique (dit d’hôpital).

Certains jeunes faisant appel aux services de la DJ et de la DPJ sont très vulnérables, avec un réseau social limité et n’ont pas toujours les moyens de participer à des activités de loisir, notamment des camps d’été/hiver, qui pourraient favoriser leur développement global.

Bien qu’ils aient accès à divers services d’intervention psychosociale et de réadaptation pour eux-mêmes et leurs familles, il était essentiel, pour intervenir sur leur développement global, de leur offrir des expériences qui contribueront à l’atteinte des objectifs définis dans leurs plans d’intervention, en améliorant leur développement (maturité, socialisation, communication, motricité, etc.).

Grâce au Fonds CIBC – camps de vacances, ces jeunes en situation de vulnérabilité peuvent participer à divers camps et activités de loisirs, offrant ainsi un répit aux parents tout en garantissant aux professionnels intervenants les moyens nécessaires pour atteindre les objectifs des plans d’intervention de ces jeunes.

Les enfants de la DPJ grandissent parfois dans un contexte où les parents n’ont pas les moyens de défrayer les coûts reliés à certains besoins de santé essentiels et de base, tels que les vêtements saisonniers, les uniformes, les soins dentaires non-couverts et les fournitures scolaires. Pour les jeunes hébergés en CRJDA, il arrive d’assister à un désengagement complet de l’autorité parentale, où ce sont les CRJDA (centres de réadaptation pour jeunes en difficulté d’adaptation) qui sont responsables de subvenir à leurs besoins en attendant un placement en famille d’accueil. Certains jeunes séjournent en CRJDA pendant de nombreuses années, car leurs problématiques rendent le jumelage en famille d’accueil difficile.

Afin d’assurer une meilleure qualité de vie à ces jeunes pour qui ces besoins non-comblés impactent considérablement leur vie, leur bien-être émotionnel et mental, il était primordial de créer un Fonds santé et bien-être.

Sans le fonds de soutien, la protection de la jeunesse n’était pas en mesure de répondre à l’ensemble de ces besoins pourtant très importants pour ces enfants. Les jeunes grandissant dans un contexte de désengagement complet de l’autorité parentale hébergés en CR évoluent dans une grande précarité financière, ayant des impacts sur leur bien-être et leur participation à des activités de socialisation et de développement. Cette situation peut leur générer de l’anxiété et des craintes. De plus, ils n’ont pas accès à des soins dentaires d’hygiène, ce qui pourrait leur causer des problèmes de santé buccale à l’âge adulte. Cette situation les rend à risque de retraits sociaux, de repli sur eux-mêmes et d’une faible estime de soi.

Les jeunes résidents à la résidence Taché, résidence fermé pour les jeunes de 13 à 18 ans ayant des objectifs sur lesquels travailler afin de pouvoir continuer leur réadaptation en milieu ouvert, ne peuvnet pas sortir du territoire de la résidence.

L’ajout de jeux intérieurs aide maintenant grandement les jeunes hébergés à garder le moral, diversifier leurs activités et jouer à l’intérieur lors de temps froid ou de pluie.

Le projet de bourses pour stage d’initiation à la recherche venait en soutien au développement de la mission universitaire au Centre intégré de santé et de services sociaux de l’Outaouais et revêtait une importance capitale pour le développement de la culture de la recherche dans l’établissement.

Plusieurs projets de recherche étaient menés en collaboration avec les directions cliniques du CISSSO, la Direction de l’Enseignement, de la Recherche et de l’Université (DERUR), et des partenaires universitaires. Cependant, la problématique majeure résidait dans le manque d’opportunités de bourses pour les étudiants de premier et deuxième cycle universitaire, freinant ainsi leur engagement dans des projets de recherche clinique.

Sans bourses, les étudiants universitaires avaient peu d’occasions de développer leurs compétences en recherche au sein du CISSSO de l’Outaouais. La plupart des bourses existantes étaient attribuées au sein des universités et n’apportaient pas de bénéfices directs à notre établissement de santé et de services sociaux.

Ce projet visait donc à octroyer des bourses d’études et susciter l’intérêt des étudiants pour la recherche au CISSSO de l’Outaouais en leur offrant des bourses pour réaliser des stages d’initiation à la recherche. Ces stages permettent aux étudiants de développer des compétences en recherche tout en contribuant aux projets de recherche en cours au sein de l’établissement. Ils ont ainsi l’opportunité de mieux connaître le CISSSO de l’Outaouais comme milieu de pratique et de recherche.

Ce projet visait à garantir l’accès aux dilatateurs vaginaux pour les patientes subissant des traitements de radiothérapie au niveau pelvien, en particulier celles atteintes de cancers gynécologiques. La radiothérapie peut entraîner une sténose vaginale, rendant le vagin moins souple et plus étroit. Cette problématique peut avoir un impact significatif sur la qualité de vie des patientes, ainsi que sur leur capacité à détecter rapidement une récidive du cancer.

Avant la réalisation de ce projet, les patientes devaient se procurer elles-mêmes les dilatateurs vaginaux, ce qui s’avèrait financièrement contraignant pour certaines d’entre elles. De plus, certaines ne pouvaient pas avoir accès à ces dilatateurs, ce qui avait des répercussions négatives sur leur qualité de vie après la radiothérapie et sur leur capacité à détecter rapidement une récidive du cancer.

Au CHSLD La Pietà, les grands salons jouent un rôle central dans la vie quotidienne des résidents. Ces espaces sont utilisés pour diverses activités telles que manger, participer à des activités, accueillir des familles et des visiteurs, ainsi que regarder la télévision en groupe.

Cependant, les anciens téléviseurs utilisés dans ces grands salons présentaientt des problèmes tels que des défauts d’image et des interruptions fréquentes. Pour améliorer le confort des résidents, il était proposé d’acquérir 4 nouveaux téléviseurs, un pour chacun des grands salons.

Ces nouveaux téléviseurs intelligents offrent maintenant la possibilité de diffuser du contenu multimédia, créant ainsi des occasions d’animation de groupes et d’activités de divertissement.
Cette mise à jour était necéssaire, puisque les anciens téléviseurs compromettaientt l’expérience de visionnage en groupe des résidents. Les défaillances des téléviseurs entraînaient une diminution du plaisir et de l’engagement des résidents dans ces activités quotidiennes importantes.

Étant désigné comme le centre de traumatologie pour la région de l’Outaouais, l’hôpital de Hull reçoit plusieurs usagers polytraumatisés avec trauma crânien sévère en plus de contenir plusieurs spécialités telles la neurochirurgie et la neurologie, traitements pour les troubles neurologiques graves comme des hémorragies, hydrocéphalie aiguë, tumeurs et bien plus.

Le système de monitorage crânien préalablement utilisé était désuet et amènait son lot de difficultés, affichant des résultats pas toujours fiables, parfois incorrects. L’utilisation d’un équipement de base augmentait donc les risques pour l’usager en rendant les décisions médicales plus difficiles et hasardeuses.

L’acquisition de l’équipement LICOX (pt02 et température) en remplacement du système datant de 1995 permet maintenant d’offrir des services de qualité et de veiller à améliorer les services, mieux évaluer les répercussions possibles, guider les traitements et améliorer les chances de récupération de l’usager. Lorsqu’un usager nécessite l’utilisation d’un tel système, il est généralement aux soins intensifs, intubé et son état est généralement instable. Les lésions cérébrales provoquent des changements pathologiques et physiologiques qui conduisent directement à une cascade de complications secondaires.

C’est à l’équipe de proximité de la Direction de la santé publique que revient la responsabilité d’effectuer les prélèvements sanguins au CLSC St-Rédempteur, en lien avec les infections transmises sexuellement ainsi que pour la tuberculose.

Il était difficile d’acheminer les échantillons au laboratoire, dans les délais prescrits, puisque peu de moyens logistiques étaient disponibles. Les spécialistes devaient recourir au service de taxi plusieurs fois par jour, pour le transport des spécimens vers le laboratoire, ce qui engendrait des coûts importants et se voulait une pratique non respectueuse de l’environnement. Autrement, les prélèvements risquaient d’être considérés comme non conformes car ils ne seraient pas reçus au laboratoire dans les délais prescrits ce qui impliquerait une reprise des examens.

Cette réalité expliquait la pertinence d’acheter une centrifugeuse, car celle-ci augmente maintenant l’efficience des démarches à compléter. Les professionnels de la santé mettent moins de temps dans la logistique de l’envoi des prélèvements et cette pièce d’équipement diminue les frais rattachés aux activités de dépistage. Puisque la centrifugation est effectuée au CLSC plutôt qu’au laboratoire, ce dernier voit sa charge de travail diminuer. Sans oublier que la centrifugeuse permet de réduire l’empreinte environnementale ainsi que le pourcentage de reprise d’examen étant donné la fiabilité des spécimens.